[FDS] Une rencontre innocente [ Sam & Leïla ]

Sujet :

Leïla Rose McPherson & Sam Forester

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J'arrivai à mon casier après mon cours de baseball je suivais maintenant, la médecine et le baseball et j'adorais ça, pourtant je savais pertinemment qu'un jour devrais choisir entre l'un ou l'autre, mais pas lors d'une magnifique journée comme celle-ci. Amy et moi nous étions temporairement séparés, car je l'aimais plus que tout et mon avenir sans elle me semblait inimaginable, mais pourtant j'avais une drôle de sensation, j'avais du temps libre et j'étais célibataire, ce qui me fit un drôle d'effet, car cela faisait maintenant bientôt un an que Amy et moi étions mariés que j'avais du bosser, m'occuper des enfants et de ma femme, enchaînant les mariages de tous mes amis qui étaient heureux à présent et qui commençait à vivre la vie que j'avais vécu il y a de cela six mois. Disons que côté nana avant Amy, c'était...plutôt un jeu... J'avais l'impression d'avoir de nouveau la force d'aimer même si mon coeur était déjà réservé. Je remarquai aussi que depuis que j'étais arrivé dans cette école j'étais populaire contrairement à avant, parce qu'avant je me terrais avec mon don, alors que maintenant je savais comment faire face. En plus en arrivant ici j'étais le beau brun mystérieux... et ensuite le mari d'Amy, étant le premier couple à s'être mariés, en tant qu'étudiant à berkeley depuis longtemps [ selon Seely], j'avais de nouveau eu une couche de popularité, mes pensée s'envolèrent tandis que j'ouvrai mon casier. Puis me retournant brusquement je heurtai une belle jeune fille qui tomba à terre je lachais mes affaires et me précipita vers elle, ses traits étaient fin et elle semblait d'une grande innocence. Je m'agenouillai près d'elle tout en regardant si elle avait quoi que ce soit.

_Hey ça va? Youhou miss! Désolé, j'étais perdus dans mes pensées

Sam n'avait pas dit je ne t'avait pas vu car il savait que la plupart du temps ces paroles là blessaient.

Invité

Je souriais naïvement en marchant dans le hall de l'université, vous devez me prendre pour une folle mais Cooper m'avait affirmé que mon casier se situait à côté de celui de Sam. Je savais qu'une fille comme moi avait peu de chance d'intéresser un gars comme Sam peu importe cela ne m'empêcherait pas de le dévorer des yeux et puis étant transparente, il ne devrait pas sans rendre compte. Au début je pensais qu'il était différent des autres, mais plus les jours passaient et plus je m'étais rendu à l'évidence. Sam était comme tout les gars populaire. Mignon, intelligent, sportif, il avait la côte avec les filles et c'est cette Amy qu'il avait choisit et qui avait finis par lui briser le cœur. J'en voulais à cette femme sans vraiment la connaître mais jamais je ne me serais permis de juger leur histoire.

Mon sourire retomba brusquement lorsque arrivée près de mon casier un homme me percuta, il ne m'avait pas vu. J'étais habituée, depuis l'âge de 10 ans j'étais devenu plus transparente que du verre. Les gens ne me voyaient pas, ne me connaissaient pas et ne prêtaient jamais attention à mes moindres faits et gestes. Avec le temps j'avais appris à vivre avec. Et puis il y a eu Coop et Alex, un vrai miracle ses deux là. Ils avaient su voir qui j'étais réellement sous mes apparences de petite intello. Les livres que je tenais dans mes bras s'étalèrent par terre sous mes yeux suivis par mon sac dont le contenu jonchait maintenant sur le sol.

Je vis tout les regards posé sur moi, sans comprendre pourquoi ils ne rigolaient pas et ne me surnommer pas la gauchère comme d'habitude. C'est en me relevant que je compris que l'homme qui m'avait bousculé n'était autre que Sam. Mon coeur s'emballa, laissant ses battements s'accélérer comme une voiture au départ d'une course de Formule 1. Mais il ne me fallut que quelques secondes pour redescendre sur terre et me pencher de nouveau afin de ramasser mes livres et le contenu de mon sac qui s'étalait à la vue de tout les étudiants. Il m'aida à les ramasser ce qui m'étonna d'autant plus.

Je n'avais pas entendu les mots prononçaient par Sam, j'étais dans mon monde et je me demandais ce qu'un gars comme lui pouvait avoir à me dire alors que la plupart d'entre eux passé leur chemin sans même une excuse. Je posa alors mes yeux sur lui, tout en remettant mon sac sur l'épaule et en tenant de nouveau mes livres bien fermement dans mes bras au cas où il retomberait.

- C'est pas grave, ne t'inquiète pas, ça va ! J'ai l'habitude. Et puis tu peux le dire que tu ne m'as pas vu, c'est pas la première fois que quelqu'un me rentre dedans sans me voir.

Dis-je tristement comme si c'était une fatalité.

Finalement je ne sais pas si on s'habitue vraiment à cette transparence, on s'y fait ça oui, mais lorsque l'homme pour lequel vous en pincez vous regarde comme la fille que personne ne voit, cela peut être blessant. En fait je ne sais pas ce qui est le pire, aimer quelqu'un qui ne vous voit pas ou rester indéfiniment transparente ? Allez savoir.

Elle ramassa les livres et sembla étonnée de voir mes mains se poser sur ces bouquins, elle me regarda longuement avant de se redresser. Elle semblait frêle et un sentiment dès plus étrange m'envahit, j'avais envie de la protéger, pas comme ma petite soeur, non, comme on protège une amie...ou plus si affinité...

°Tu te fais des films, Amy te trompe t'es pas non plus obligé de faire pareil, quoi que pour elle ce n'est pas de la tromperies vu qu'on est plus ensemble...° Les pensées de Sam étaient confuses, il croyait qu'il faisait tout pour oublier Amy, pourtant la jeune fille qui se tenait devant lui venait de marquer son coeur.

La jeune fit dit tristement que ce n'était pas grave qu'elle allait bien et que je pouvais avouer que je ne l'avais pas vu, que ce n'était pas la première fois. J'étais plutôt en colère qui aurait osé bousculer cette fille sans même se retourner? C'était évident qu'elle était différente plus...oui plus quoi au juste? Elle avait quelque chose de plus, c'est tout ce que je savais, mais ça au moins j'en étais certain. En plus elle semblait si habituée, que le coeur de Sam se serra, non qu'elle lui faisait pitié, mais un peu de peine. Il l'a regarda dans les yeux

_Même si c'est arrivé plusieurs fois, je trouves ça affreux que quelqu'un te bouscule sans me te regarder, alors laisse moi t'inviter à allez boire quelque chose, au Starbuck par exemple? Attention ne te dis pas que je fais ça avec toutes les filles ou quelque chose comme ça, je veux juste me faire pardonner au près de...la fille que j'ai violemment bousculé. Enfaite c'est quoi ton nom?

Invité

Je ne comprenais absolument pas ce qui était entrain de se passer, pire ce que je redoutais le plus venait d'arriver. Sam me prenait en pitié. Génial, il ne manquait plus que ça. Habillée comme n'importe quelle fille banale, c'est à dire vêtu d'un jean délavé et d'un tee-shirt avec un énorme smile Jaune dessus, je me mis à sourire gênée par son comportement. Cette situation était absurde et grotesque. Mais j'avais l'impression de vivre dans un rêve. Puis en écoutant les paroles lançaient par le jeune homme, un sentiment de colère se mit à m'envahir. Il n'avait absolument pas besoin de s'apitoyer sur mon sort, même moi je ne me permettais pas de le faire, car étant née dans une famille aisée, je trouvais ça inconvenant de me plaindre.

Il suffisait de regarder les informations pour comprendre qu'il y avait du malheur partout, de la famine dans les pays du tiers-monde jusqu'au maladie mortelle qui atteint d'innocente personne dans l'incapacité de se payer des médicaments. Et c'était ces choses là qu'on devait avoir en horreur et pas les filles que personne ne voit comme elle. Pourtant quelque chose, lui faisait penser que Sam était en partie sincère, peut-être cette lueur dans ses yeux ?

* Redescend sur terre, Leïla une fille comme toi ne peux pas avoir des vu sur un gars comme lui !*

Bon sang Cooper, l'avait pourtant prévenu, cet homme est marié et a deux enfants. Et puis stop, il montrait de la pitié et tu l'as toujours rejeté mais de la à refuser un café avec le beau Sam, il y a de la marge. Je tenta de calmer mes ardeurs, mais décida de lui répondre sur un ton mi froid mi doux.

- Sam, je n'ai pas besoin de ta pitié croit moi ! En revanche un café me tenterait bien, je m'appelle Leïla !

Soudain je me stoppa net, je venais de faire une méga boulette, non finalement si je le connaissais c'est parce que tout le monde le connait à Berkeley et pas parce que j'en connais plus sur lui, qu'il n'en connait sur moi. Cela dit j'étais avantagée. Je décidais de ranger mes livres dans mon casier et après avoir réajusté mon sac, je le regardais prête à partir.

- On y vas ?

Elle semblait énervée. Elle m'appela par mon prénom ce qui m'étonna d'abord puis je reportai mon attention sur la jeune fille devant moi qui me dis qu'elle n'avait pas besoin de ma pitié, mais qu'un café la tenterait bien et qu'elle s'appelait Leïla. Juste après avoir parlé, elle se mit à rougir puis me demanda si on y allait. Je souris, non elle n'avait pas besoin de ma pitié et ce n'était pas ça que je comptais lui donner.

_Non tu n'as pas besoins de ma pitié en revanche un café pourquoi pas ? Bon alors direction le Starbuck. Je te préviens ma voiture n'est pas très classe. dis-je en pensant à ma vieille mustang bleu pastel des année soixante que j'avais, il y a peu hérité d'un vieille oncle. Mais je l'adore!

Doucement nous commençâmes à marcher en direction du parking quand je demandai à Leïla depuis combien de temps elle était là, à Berkeley, puis tout en attendant sa réponse je la détaillai du regard. Cette silhouette, son visage, son teint, elle était jolie. Ses habits n'étaient pas à la pointe de la mode, mais Sam s'en fichait par dessus tout. Mais son sourire, le sourire de Leïla...

Invité

La jeune fille regarda Sam avec étonnement. Non pas qu'elle fut surprise de sa réponse mais plutôt parce que sa voiture était une vieille voiture et que c'était ce genre de voiture là qu'elle adorait par dessus tout. Il suffisait de voir la mienne, même Cooper l'aurait bien déposé à la déchetterie pour m'en acheter une plus moderne mais j'adorais ma vieille gimbarde et le bruit qu'elle faisait quand je démarrais. Je l'aimais trop pour penser une seule seconde à m'en séparer. Le sourire qui avait disparu de mon visage refit alors surface sans crier garde. Je me mis à rougir, bon dieu avec mon teint pourri, il ne faudrait pas plus de 2 secondes à Sam pour s'en rendre compte.

Nous marchions maintenant tranquillement dans le hall en direction du parking. Je n'étais pas intimidée, bon d'accord un tout petit peu, mais je n'étais absolument pas nerveuse et plutôt sûre de moi. Enfin j'avais une estime de moi assez basse mais pas au point de ne pas avoir confiance en moi. La question qu'il me posa par la suite, me laissa perplexe. Sam prenait le temps d'apprendre à me connaître et ça ne m'étais que rarement arrivée, je ne cherchais pourtant pas à comprendre et décida de lui répondre.

- Je viens d'arriver ! Disons que mon déménagement à duré plus longtemps que prévu ! Bref ça tu t'en fiches et toi, depuis combien de temps es-tu à Berkeley ?

Elle connaissait la réponse à sa question mais ne voulait absolument pas passer pour une groupie. Cooper m'avais beaucoup parlé de Sam, en bien mais j'avais déjà mon idée sur la question. Lui et moi c'était juste impossible. Soudain je le vis me détaillais du regard et soudain prise de panique je me mis à penser qu'il devait me trouver ridicule et stupide. Je décidais donc de tourner les talons brutalement.

- Tu sais quoi peut-être que finalement on devrait repousser ce café et puis tu ne m'as pas fait mal alors, tout va bien !

J'allais lui tourner le dos pour retourner à mes occupations, c'est à dire trouver un petit boulot qui me permettrais de louer mon propre appartement. Mais au fond peut-être espérais-je autre chose ?

Elle me répondit qu'elle venait d'arriver que son déménagement avait duré plus longtemps que prévus, mais que ça je m'en fichais, puis elle me demanda depuis combien de temps j'étais à Berkeley. J'allais répondre et par la même occasion, lui poser une autre question...lorsqu'elle rougit. J'allais aussi lui présenter ma voiture, mais elle me coupa dans mon élan en me disant que finalement on devrait surement repousser le café et qu'elle n'avait pas vraiment mal. Je ne comprenais plus rien, j'avais fait quelque chose de faux? Quand elle tourna les talons j'y vu une chance de lui montrer que j'étais différent, en la rattrapant. Elle poussa la porte qui m'arriva en pleine poire.

_Oh uaï

J'allais la rattraper, mais je vu Amy, ne sachant pas quoi faire, je pris trop de temps à prendre ma décision, je la vis donc s'enfoncer dans la foule, au moins je savais qu'un jour elle repasserait devant mon casier.

Invité

Leïla avait inconsciemment prié pour qu'il la rattrape mais lorsqu'elle ouvrit la porte, elle comprit qu'il ne la rattraperait jamais. Bon sang comment avait-elle pu croire ne serait-ce qu'une seule seconde que Sam puisse réellement s'intéresser à elle. Certes il était polie, mais finalement comme les autres, il ne voyait en elle qu'une pauvre cruche. Cooper aurait dû l'aider et lui ôter cette idée de la tête plutôt que de lui faire croire au comtes de fée.

Leïla se rappela à cet instant ce comte si merveilleux que lui racontait sa nurse étant petite. Celui de Cendrillon, ce que personne ne savait c'est qu'on aurait pu la comparer à cette dernière. Sur certains points seulement puis que sur d'autres elle gardait l'avantage. Tout d'abord elle n'avait pas de demi-soeurs qui lui faisaient la vie dure, mais il y a avait la nouvelle capitaine des Cheerleaders qui les remplaçait. Ensuite ses parents étaient toujours vivants et en bonne santé, riche et célèbre mais constamment absent et surtout, sa mère l'avait contraint à faire les tâches ménagères les plus exigeantes, lorsqu'elle était en déplacement sous prétexte qu'une femme de ménage coûtait trop cher. Cependant elle avait des amis sur lesquels elle pouvait vraiment compter, ils n'étaient qu'au nombre de deux, mais ils avaient de l'importance aux yeux de la jeune femme. Et pour couronner le tout, si elle voulait gagner son indépendance, il lui fallait trouver un petit boulot en plus de ces études.

Ce qu'elle ne savait pas en revanche, c'est qui elle était vraiment tout au fond elle. Qui se cachait derrière se corps si frêle, se teint si pâle et ces cheveux d'une blondeur scintillante ? Un jour le secret sera peut-être dévoilé, et ce que sa mère se force à cacher depuis tant d'année refera surface causant des dégâts parfois irréparable.

Tout en m'éloignant je cachais honteuse, les larmes qui étaient apparu au coin de mes yeux. Je me dépêchais d'aller au toilette avant mon prochain cours pour arranger tout ça, afin que personne ne le remarque. Il ne manquerait plus que ça. Pourquoi tant d'espoir en si peu de temps je vous le demande ?

DEUX JOURS PLUS TARD

J'étais assis contre mon casier les cheveux devant les yeux, attendant Leïla. Il faisait chaud et un rayon de soleil me réchauffait la peau. Les gens passaient depuis une trentaines de minutes. Certain me lançaient des regards interrogateur, d'autre des méprisant, il y avait de tout: de l'Amour à la haine en passant par la jalousie. Apparemment, tout le monde ici avait son avis sur moi... je me demandais si le blog de M-G n'avait pas un rapport là dedans...
Je voulais absolument m'excuser au près de Leïla, j'avais sans doute fait une erreur et je culpabilisais terriblement dire qu'il y a un ans, j'étais un pro côté drague et qu'en plus je n'avais aucun remord...Amy avait donc vraiment marqué ma vie. Pourtant j'étais là contre mon casier à attendre une fille que je connais à peine passe. Peut-être qu'on ne se reverra jamais, c'est tellement grand Berkeley...Désespéré, je me redressai pris mon sac et partit dans le couloir espérant, un jour retomber sur cette fille.

Invité

DEUX JOURS PLUS TARD !

J'arpente le couloir, pour aller déposer mes livres de médecines avant d'aller à mon cours de labo, qui a lieu dans dix minutes. J'ai encore l'espoir de croiser Sam près de mon casier, puis qu'il était à côté du miens. Peut-être qu'après tout nous pourrions reprendre la conversation que nous avions commencé. Non la j'en demandais beaucoup trop et puis ne m'avait-il pas laissé partir la dernière fois. J'étais ridicule et stupide de croire que je pouvais encore l'intéresser. Alors que je m'approchais de son casier, je le vis passer juste à côté de moi, sans même me voir. Pourquoi mon cœur ce serait-il ? Il fallait vraiment que je suive une thérapie, non mais sérieusement qu'est-ce que j'allais m'imaginer. Je le suivis du regard et le vit s'éloigner et se fondre dans la foule. Ratée de peu si ça se trouve. Arrivée à mon casier, je rangea mes livres à l'intérieur puis le referma avant de partir dans ma salle de laboratoire. Encore un peu sous le coup de cette vision qui m'avait prouvé une fois de plus que j'étais transparente.

Topic terminé !

» Msn de Leïla R. McPherson !
» Journée relooking à la recherche d'une princesse {Leïla,Lili-Joe}
» Tombé sous le charme de ses yeux noisettes... [Leïla]
» Vacances au soleil, vive les Bahamas [Leïla, Alex]
» Les musiciens et chanteurs du bal vous font un concert ! (Dans l'ordre) [Leïla, Demi et tout le monde]

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